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La Thérapie individuelle

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A l'inverse d'un accompagnement en Coaching, la thérapie est une démarche engagée par une personne qui souffre. Ou tout du moins, qui ressent un inconfort ou un mal-être dans certaines situations et qui souhaite retrouver un équilibre, notamment émotionnel.

Faire une thérapie c'est RÉAGIR face à son mal-être. 

Les signes d'une souffrance sont multiples : troubles de l'anxiété, stress, agressivité, troubles du sommeil (insomnies ou difficultés d'endormissement), fatigue chronique, baisse d'intérêt pour les choses, rapports conflictuels aux autres fréquents, phobies, troubles de l'attention, TOC, troubles addictifs, troubles sexuels, troubles alimentaires ... Autant de signes auxquels s'ajoutent bien souvent les bobos du corps. 

Derrière ces symptômes il y a souvent un enfermement mental dans des schémas de pensées automatiques et souvent erronés et irrationnels : rumination mentale, noeuds mentaux, fausses croyances, fausses interprétations, émotions auto-destructrices. En vases communicants, ces pensées vont produire des schémas de comportements dysfonctionnants.  La thérapie vous aide à avoir une vision plus lucide et plus objective de la réalité afin de pouvoir agir de manière plus adéquate. 

Venir en thérapie c'est aussi apprendre à faire "ami-ami" avec Soi. C'est prendre conscience de la dureté que l'on peut avoir envers soi (jugements auto-dévalorisants) et s'octroyer un regard sur Soi moins sévère, moins jugeant. C'est s'autoriser à dire ce que l'on ressent, sans filtre, sans masque. C'est comprendre que nous sommes des êtres sensibles, vulnérables et imparfaits. Et s'aimer ainsi. 

On vient peut-être en thérapie tout simplement pour apprendre à S'aimer ...

 

Comment je vous accompagne ?

L'approche cognitivo-comportementale

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En tant que praticienne en thérapie brève, je suis formée aux outils issus de ce que l'on appelle les "thérapies comportementales et cognitives", communément appelées les TCC

Elles sont l'application de la psychologie scientifique à la psychothérapie.

C'est le courant le mieux validé par la recherche. 

En TCC, on travaille sur 3 composantes de l'individu :

la composante cognitive (les pensées, les croyances)

la composante comportementale (les comportements)

et la composante émotionnelle (les émotions)

 

Les techniques utilisées visent à remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et réactions en adéquation avec la réalité, en créant de nouvelles expériences d'apprentissage. 

Comment ? en aidant le patient à cibler ses erreurs de traitement de l'information et en identifiant les schémas précoces inadaptés dans lesquels il est peut-être enfermé.

Les outils TCC nous aident à prendre conscience du caractère très subjectif de nos raisonnements et ressentis dans les situations vécues, nous conduisant même parfois à être dans l'irrationnel. Exemple caricatural mais pas si rare : mon collègue ne m'a pas dit bonjour aujourd'hui ... peut-être est il fâché contre moi ? mince j'ai du encore faire une bêtise... je suis vraiment la plus nulle du monde et de l'espace galactique". L'idée est d'apprendre à déceler ses fausses croyances, ses interprétations illusoires ​qui sont génératrices d'émotions parfois destructrices. 

 

L'approche corps-esprit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur la dimension émotionnelle, les psychothérapies nouvelles génération aussi appelées "de 3ème vague" (la science évolue constamment et fait évoluer les techniques thérapeutiques) prônent l'usage des outils qui aident à la reconnaissance des émotions éprouvées et à leur acceptation. Plusieurs études ont mis en évidence que c'était notre lutte contre la souffrance qui génère la plupart des troubles névrotiques comme la dépression ou l'anxiété. C'est notre lutte pour ne pas souffrir qui nous amène à nous dévaloriser (puisque l'on n'y arrive pas) et nous empêche ainsi d'agir pour soi. Il s'agit donc d'apprendre à accueillir les émotions telles qu'elles sont et d'apprendre à reconnaître notre vulnérabilité. et notre fragilité, êtres émotionnels et sensibles que nous sommes !

Je me suis donc formée aux outils de l'approche psycho-corporelle 

comme par exemple l'ACT (thérapie d'acceptation et d'engagement) qui apprend à développer une flexibilité psychologique. L'approche corps-esprit des nouvelles thérapies dites "intégratives" utilisent à la fois les outils de la psychologie positive, ainsi que ceux de la pleine conscience pour développer nos aptitudes à mettre à distance certains phénomènes mentaux.

J'ai suivi le programme MBSR de Kabat-Zinn qui apprend à réduire le stress par la pleine conscience c'est à dire dans l'apprentissage de différentes formes de méditations qui nous amènent à "faire attention, d'une manière particulière, délibérément, au moment présent et sans jugements de valeurs".

Des temps de méditations guidées pendant les séances (ou entre les séances) peuvent être envisagées ensemble si vous éprouvez l'envie d'explorer les outils de ces approches par le corps. 

La psychologie positive (à ne pas confondre avec la pensée positive et sa méthode Coué) marque un tournant historique dans l'évolution de la psychologie. Effet, on passe d'une focalisation majoritaire sur les problèmes, les souffrances et les maladies mentales à une focalisation plus équilibrée incluant aussi des recherches sur les conditions optimales pour vivre le mieux possible. La psychologie positive s'intéresse à tout ce qui conduit au bien-être des individus, à ce qui rend les humains résilient, heureux et optimistes. Les outils utilisés visent à développer chez l'individu des émotions positives, de l'engagement, le développement des forces de caractère, aident à donner du sens et à développer la réalisation de Soi. 

Pourquoi faire une thérapie ?

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